Le week end touche presque à sa fin. Je crois que je suis une inconsollable nostalgique des dimanches.Hier j'ai bossé à Cholet, à distribuer des flyers dans le froid, au moins j'ai gardé les lunettes. Un truc genre rappeur américain. Et le soir y'avait un petit repas chez Arnaud pour son anniversaire. Y'avait Pauline, Benoit, Toine, David ... J'étais tellement fatiguée, je crois que j'aurais pu tomber dans le coma sur le canapé. Et après j'ai dormi tout contre *Lui. Ca faisait longtemps. Ca faisait du bien aussi. Ce temps me déprime, gris, gris, gris, gris. C'est si lourd qu'on a l'impression que les nuages vont tomber à un moment. Et ça fatigue aussi. J'attaque la dernière semaine, grise, grise, grise, grise. Et j'aimerais qu'elle soit déjà terminée. J'ai envie que ce soit Noël, les repas au coin du feu à la lumière du sapin illuminé. J'ai envie de voir des enfants déchirer les papiers cadeaux, manger comme de petits ogres et s'endormir au fond d'un fauteuil. J'ai envie de voir mon cousin, mon filleul, mes cousines, mes frangines, mon frangin, ma marraine, ma grand-mère. Et abolir la distance. Ce sera Noël à Angers le 24 au soir, et le 25 au midi ce sera en Normandie. Entre les deux, un train, des gares et mon impatience. Mais ces vacances sont aussi le synonyme de travail et de révisions. Mes partiels commencent le 8 janvier, pour les écrits. Et se finissent vers le 16. Ca fait un sacré bout de temps. Déjà mardi j'ai un partiel sur les 3 Monothéïsmes. Mon ange est en bas. Je descend
