Les étoiles, les étoiles, les étoiles, dites-moi étoiles, pourquoi je vous regarde ? [ Melody Gardot - Les étoiles ]
b0uille
De deux choses Lune, l'autre c'est le Soleil. [ Jacques Prévert ]
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De deux choses Lune, l'autre c'est le Soleil. [ Jacques Prévert ]
Lundi 14 décembre 2009 à 19:49
Les étoiles, les étoiles, les étoiles, dites-moi étoiles, pourquoi je vous regarde ? [ Melody Gardot - Les étoiles ]
Dimanche 1er novembre 2009 à 22:11
Les autoportraits à la balançoire.
Après avoir marché le long des chemins de terre, les pieds dans l'herbe et dans les flaques, avec la musique au fond du ventre, juste un peu, pour entendre encore la vie qui gronde au dehors, dans les arbres et sous mes pas, je me suis assise sur la balançoire du jardin. J'ai monté le volume jusqu'à me remplir de notes, Radiohead en boucle depuis trois jours. Et puis se balancer, un peu au début, comme pour rire, pour redevenir une petite fille, oublier qu'on est une adulte majuscule. Et puis de plus en plus haut, de plus en plus vite, sentir des papillons dans le creux des reins. Et le ciel gris qui devient bleu, bleu bleu, plus on monte. Et sauter au moment où on est le plus haut. Sur cette balançoire j'avais les mots, dans ma tête, qui fourmillaient, mais je n'avais pas de papier, et ce soir je ne les retrouve plus. Et puis les autoportraits à la balançoire.
Après avoir marché le long des chemins de terre, les pieds dans l'herbe et dans les flaques, avec la musique au fond du ventre, juste un peu, pour entendre encore la vie qui gronde au dehors, dans les arbres et sous mes pas, je me suis assise sur la balançoire du jardin. J'ai monté le volume jusqu'à me remplir de notes, Radiohead en boucle depuis trois jours. Et puis se balancer, un peu au début, comme pour rire, pour redevenir une petite fille, oublier qu'on est une adulte majuscule. Et puis de plus en plus haut, de plus en plus vite, sentir des papillons dans le creux des reins. Et le ciel gris qui devient bleu, bleu bleu, plus on monte. Et sauter au moment où on est le plus haut. Sur cette balançoire j'avais les mots, dans ma tête, qui fourmillaient, mais je n'avais pas de papier, et ce soir je ne les retrouve plus. Et puis les autoportraits à la balançoire.
Mardi 22 septembre 2009 à 13:00
Comment décrire, les rires en lisant Léa, et le code du pyjama, et la colocation avec les allemands, et les photos de l'appartement, étudiées jusqu'au moindre détail. Et le souffle retenu, attendre avec elle les réponses à toutes les questions.
Et les heures au téléphone avec Margot, à se repasser les vacances à Londres, et à rire à s'en faire mal au ventre. Les heures avec l'amoureux, dans ses bras ou au téléphone, à se raconter nos vies loin l'un de l'autre.
Et tout ça en musique, des musiques qui prennent le ventre, qui vibrent dans la poitrine.
Vous vibrez sur quoi vous ?
Dimanche 6 septembre 2009 à 21:58
C'est peut-être le Londres de tout le monde. Ou ce n'est peut-être le Londres de personne. En tout cas c'est mon Londres à moi, le Londres que je n'imaginais pas, mais qui me donne tant envie d'y retourner.